L’arbre des causes : Un outil d’analyse des accidents du travail

Qu’est-ce que l’arbre des causes ?

L’arbre des causes est une méthode d’analyse des accidents qui vise à identifier les causes profondes d’un événement indésirable dans un environnement de travail. Il repose sur une représentation graphique sous forme d’arborescence, permettant de visualiser l’enchaînement logique des faits ayant conduit à l’accident de travail.

Cette démarche structurée repose sur l’analyse de cause racine afin de reconstituer le processus ayant mené à la situation de travail problématique. À partir d’un point de départ, il est possible de remonter les enchaînements des faits, d’identifier les facteurs humains, techniques et organisationnels qui ont contribué à l’incident, et d’en comprendre l’origine. L’analyse s’appuie sur un diagramme de cause, permettant d’étudier chaque tâche, chaque dysfonctionnement, et de définir des mesures de prévention adaptées.

Grâce à l’organisation des faits, cette méthode permet d’éviter qu’un accident similaire ne se produise. Elle repose sur un schéma logique, où chaque élément est relié par des liens de causalité. Il est alors possible d’analyser un accident en prenant en compte la situation normale, les antécédents, les témoignages du personnel, ainsi que les réactions des acteurs responsables.

Recommandée par l’INRS, cette analyse approfondie est particulièrement utile pour les chefs de production, les membres du CSE et les services de sécurité, qui doivent mettre en œuvre des actions correctives efficaces. Elle offre un cadre structuré, permettant d’étudier chaque circonstance, d’appliquer des mesures préventives, et de déterminer la portée des mesures à adopter.

En s’appuyant sur des témoignages, des données et des rapports d’enquête, l’arbre des causes devient un outil essentiel pour améliorer la sécurité au travail, optimiser l’organisation de la production, et limiter les risques professionnels à long terme.

Sommaire de l'article

Quand utiliser l’arbre des causes ?

L’arbre des causes est une méthode d’analyse particulièrement utile lorsqu’un incident ou un accident du travail survient. Cependant, il ne se limite pas aux accidents graves : il peut être utilisé dans différents contextes pour anticiper et prévenir les risques professionnels.

L’arbre des causes est recommandé dans les cas suivants :

1️⃣ Accidents du travail avec dommages corporels

  • Lorsqu’un accident entraîne un arrêt de travail ou une blessure, il est essentiel d’analyser les causes pour éviter qu’il ne se reproduise.
  • Exemple : Un employé chute d’un échafaudage. L’analyse révèle que l’équipement était mal installé et que la formation sur son utilisation était insuffisante.

2️⃣ Accidents à répétition sur une même tâche ou un même poste

  • Si plusieurs accidents similaires se produisent, l’arbre des causes permet d’identifier un problème systémique.
  • Exemple : Plusieurs employés se blessent en manipulant une machine. L’analyse met en évidence un défaut de conception ou un manque de consignes de sécurité adaptées.

3️⃣ Presqu’accidents ou situations dangereuses

  • Même si aucun dommage ne s’est produit, il est judicieux d’analyser un événement qui aurait pu avoir des conséquences graves.
  • Exemple : Un salarié manque de se faire heurter par un engin de chantier. En analysant la situation, on découvre un problème de signalisation sur la zone de circulation.

4️⃣ Incidents industriels et problèmes techniques

  • L’arbre des causes peut aussi être appliqué à des dysfonctionnements de processus industriels ou de maintenance.
  • Exemple : Une panne critique survient sur une ligne de production. L’analyse révèle un manque d’entretien préventif et une surcharge des équipements.

5️⃣ Retour d’expérience (REX) et amélioration continue

  • L’arbre des causes est un excellent outil pour formaliser un retour d’expérience et capitaliser sur les enseignements tirés d’un événement.
  • Exemple : Après un incendie maîtrisé sans blessé, une analyse approfondie permet d’identifier des failles dans la gestion des stocks de matières inflammables.

 

💡 En résumé : L’arbre des causes ne sert pas uniquement après un accident grave. Il est un outil de prévention qui permet d’analyser toutes les situations à risque, qu’il s’agisse d’accidents, de presqu’accidents ou de dysfonctionnements organisationnels et techniques.

Découvrez la méthode de l’arbre des causes pour une analyse approfondie et structurée des accidents du travail.

Identifiez les facteurs contributifs et proposez des mesures de prévention efficaces.

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Pourquoi utiliser l'arbre des causes ?

L’analyse par arbre des causes permet :

  • De visualiser les différentes causes contributives d’un accident.

  • D’identifier les facteurs humains, matériels et organisationnels ayant contribué à l’incident.

  • De structurer la mise en œuvre des actions de prévention.

  • D’améliorer la sécurité au travail en réduisant la probabilité d’accidents futurs.

  • De proposer des mesures correctives ciblées en fonction des liens de causalité identifiés.

Comment construire un arbre des causes ?

1. Recueil des faits

La première étape consiste à recueillir les faits liés à l’accident du travail. Il est essentiel de :

  • Interroger les témoins et la victime.

  • Analyser l’organisation du travail et l’environnement de travail.

  • Observer le poste de travail et les équipements utilisés.

Noter l’absence de réaction ou toute défaillance dans la gestion des risques.

2. Construction de l’arbre des causes

L’arbre des causes se construit en partant du dommage constaté et en remontant progressivement vers les causes racines.

    • L’arbre peut être construit de haut en bas ou de droite à gauche.

    • Chaque cause identifiée doit être suffisante pour expliquer l’élément précédent.

Il faut prendre en compte les facteurs contribuant à l’accident.

 

3. Analyse des causes profondes

L’approche systémique de l’arbre des causes permet de rechercher des causes racines :

  • Facteurs organisationnels : insuffisance de formation, mauvaise communication, absence de procédures.

  • Facteurs techniques : panne d’un équipement, non-respect des normes de sûreté de fonctionnement.

Facteurs humains : mauvaise perception du risque, modes de défaillance dans l’exécution d’une tâche.

 

4. Proposition et mise en place des mesures de prévention

Une fois les causes identifiées, il est indispensable de :

  • Définir des mesures de prévention adaptées.

  • Intégrer ces mesures dans le document unique d’évaluation des risques.

  • Former les collaborateurs avec une formation arbre des causes.

  • Mettre en place des actions correctives et assurer leur suivi.

Les erreurs courantes à éviter lors de l’analyse avec l’arbre des causes


L’arbre des causes est un outil puissant pour comprendre et prévenir les accidents du travail, mais son efficacité dépend de la rigueur avec laquelle il est construit. Certaines erreurs méthodologiques peuvent limiter son impact et fausser les conclusions. Voici les principales erreurs à éviter :

1. Se limiter aux causes immédiates

Erreur fréquente : Identifier uniquement la cause apparente sans chercher les véritables facteurs sous-jacents.
Bonne approche : Toujours se poser la question « Pourquoi cela s’est-il produit ? » plusieurs fois pour remonter aux causes profondes.

📌 Exemple :
❌ « L’accident est dû à une chute de l’échelle. »
✅ « Pourquoi l’échelle a-t-elle glissé ? → Parce que le sol était humide. »
✅ « Pourquoi le sol était-il humide ? → Parce qu’un tuyau fuyait. »
✅ « Pourquoi le tuyau fuyait-il ? → Parce que l’entretien préventif n’a pas été réalisé. »

Une analyse trop superficielle ne permet pas d’identifier les défaillances systémiques et d’éviter la répétition des accidents.

2. Chercher un coupable au lieu d’analyser le système

 ⚠ Erreur fréquente : Accuser directement un salarié (ex. : « Il n’a pas respecté la procédure. ») sans analyser les facteurs organisationnels ou matériels.
Bonne approche : Identifier les conditions qui ont conduit à l’erreur plutôt que de blâmer un individu.

📌 Exemple :
❌ « L’opérateur a mal utilisé la machine. »
✅ « Pourquoi ? → Il n’avait pas été correctement formé. »
✅ « Pourquoi ? → La formation n’est pas systématique pour les nouveaux arrivants. »

L’objectif est d’améliorer la prévention et la formation, pas de sanctionner un employé.

3. Oublier les facteurs organisationnels

 ⚠ Erreur fréquente : Se concentrer uniquement sur l’erreur humaine ou un défaut technique sans analyser les conditions de travail.
Bonne approche : Toujours inclure les aspects organisationnels et managériaux.

📌 Exemple :
❌ « L’agent a mal positionné la charge, ce qui a provoqué sa chute. »
✅ « Pourquoi ? → Il était sous pression pour aller vite. »
✅ « Pourquoi ? → Les délais de production sont trop serrés. »
✅ « Pourquoi ? → Le planning ne prend pas en compte les temps de sécurité. »

Les causes profondes peuvent être liées à une mauvaise organisation du travail (ex. : surcharge de travail, consignes contradictoires, absence de supervision).

4. Ne pas vérifier la validité des faits

 ⚠ Erreur fréquente : Se fier uniquement aux témoignages sans recouper les informations.
Bonne approche : Recueillir plusieurs sources de données pour éviter les biais d’interprétation.

📌 Bonnes pratiques :

  • Analyser des vidéos de surveillance si disponibles.
  • Consulter les rapports de maintenance ou d’audit.
  • Vérifier les conditions de travail réelles sur le terrain.

Un témoignage seul peut être influencé par le stress, la peur de la sanction ou une perception erronée des faits.

5. Omettre des causes contributives importantes

 ⚠ Erreur fréquente : Se focaliser sur une seule cause et ignorer d’autres facteurs qui ont contribué à l’accident.
Bonne approche : Vérifier si plusieurs facteurs indépendants ont convergé pour provoquer l’accident.

📌 Exemple :
❌ « L’accident est dû à un sol glissant. »
✅ En réalité, plusieurs causes ont contribué :

  • Le sol était glissant (facteur environnemental).
  • L’employé portait des chaussures inadaptées (facteur humain).
  • Aucune signalisation n’indiquait le danger (facteur organisationnel).

L’arbre des causes doit refléter toutes les interactions possibles entre les éléments contributifs.

L’intégration de l’arbre des causes dans une démarche QHSE

L’arbre des causes ne doit pas être utilisé de manière isolée. Il s’intègre pleinement dans une démarche globale de gestion des risques en entreprise, en particulier dans les domaines de la Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement (QHSE).

1. Lien avec le Document Unique d’Évaluation des Risques (DUERP)

L’analyse des causes d’un accident doit aboutir à des actions correctives qui sont ensuite intégrées au DUERP. Ce document obligatoire en France permet d’évaluer les risques professionnels et de mettre en place un plan de prévention.

  • Un accident analysé via un arbre des causes peut révéler un risque non identifié ou mal évalué.
  • Les mesures correctives et préventives décidées après l’analyse doivent être documentées et mises à jour dans le DUERP.

2. Amélioration continue et certification QHSE

L’utilisation régulière de l’arbre des causes permet d’inscrire l’entreprise dans une dynamique d’amélioration continue, notamment pour respecter les normes QHSE comme :

  • ISO 45001 (Santé et Sécurité au travail)
  • ISO 9001 (Qualité)
  • ISO 14001 (Environnement)

En intégrant cette méthode dans un processus structuré, l’entreprise peut mieux maîtriser ses risques, réduire les accidents et améliorer ses performances en sécurité au travail.

3. Implication des acteurs de l’entreprise

Un arbre des causes bien mené ne doit pas être réservé aux seuls services QHSE. Il doit impliquer :

  • Les managers : Ils doivent veiller à l’application des mesures correctives.
  • Les représentants du personnel (CSE) : Ils participent à l’identification des risques et à la mise en place des actions.
  • Les salariés : Ils apportent leur retour d’expérience et doivent être formés à l’arbre des causes.

📌 Bonnes pratiques : Organiser des réunions périodiques de retour d’expérience pour analyser plusieurs accidents ou incidents et ajuster les plans de prévention.

Les avantages de l'arbre des causes

 

AvantagesExplications
Méthode visuelleLa représentation graphique facilite la compréhension des causes de l’accident.
Approche collaborativeLa méthode implique un groupe de travail composé de différents acteurs de l’entreprise.
Identification des causes racinesPermet de remonter jusqu’aux véritables causes de l’accident.
Amélioration continueAide à définir des mesures préventives durables et à renforcer la sécurité au travail.
AdaptabilitéPeut être utilisé pour différents types d’événements indésirables (accidents, incidents, pannes).

 

Les outils complémentaires à l'arbre des causes

L’arbre des causes peut être utilisé avec d’autres méthodes d’analyse telles que :

  • Le diagramme de causes (ou arête de poisson).

  • L’arbre de défaillances pour analyser les modes de défaillance d’un processus.

  • L’analyse qualitative pour approfondir l’étude des facteurs contribuant.

Les différences avec d’autres méthodes d’analyse des accidents

L’arbre des causes est une méthode efficace d’analyse des accidents, mais il existe d’autres outils complémentaires qui peuvent être utilisés selon les besoins de l’entreprise. Comparons-les :

La méthode des 5 Pourquoi

Cette approche consiste à poser successivement la question « Pourquoi ? » cinq fois (ou plus) pour remonter à la cause racine d’un problème.

  • Avantages : Simplicité, rapidité, ne nécessite pas d’outils spécifiques.
  • Limites : Peut manquer de profondeur et ne pas toujours permettre d’identifier plusieurs causes contributives en parallèle.

Exemple :

Un employé glisse sur un sol mouillé et se blesse.

Pourquoi ? → Le sol était mouillé.Pourquoi ? → Une fuite d’eau provenait d’un tuyau défectueux.Pourquoi ? → L’entretien préventif du réseau de plomberie n’a pas été réalisé.Pourquoi ? → Il n’y a pas de procédure d’entretien régulière en place.Pourquoi ? → L’entreprise n’a pas identifié cette maintenance comme prioritaire.

L’AMDEC (Analyse des Modes de Défaillance, de leurs Effets et de leur Criticité)

Plutôt utilisée en prévention, l’AMDEC permet d’anticiper les défaillances possibles d’un système avant qu’un accident ne survienne.

  • Avantages : Analyse systématique des risques, applicable aux équipements et processus.
  • Limites : Ne s’applique pas directement après un accident, nécessite des ressources et du temps en amont.

Le Retour d’Expérience (REX)

Le REX consiste à collecter et formaliser les enseignements tirés des incidents et accidents passés pour améliorer la prévention des risques.

  • Avantages : Permet d’enrichir la base de connaissances de l’entreprise et d’éviter la répétition d’erreurs.
  • Limites : L’efficacité dépend de la qualité du partage d’information et de la culture sécurité de l’organisation.

💡 Comparaison en un coup d’œil :

MéthodeObjectifPoints fortsLimites
Arbre des causesAnalyser les causes d’un accidentApproche systémique, visuelle et collaborativePeut être chronophage
5 PourquoiIdentifier rapidement la cause principaleSimple et rapidePeut manquer de profondeur
AMDECAnticiper les défaillances avant qu’un accident ne survienneApproche préventive et rigoureuseNécessite des ressources en amont
REXTirer des leçons des incidents passésAméliore la culture sécuritéDépend de la communication et du suivi

 

Les outils numériques pour faciliter l’analyse

Avec la digitalisation, plusieurs solutions logicielles permettent d’automatiser et d’optimiser l’analyse par arbre des causes.

1. Les logiciels QHSE dédiés

De nombreux logiciels spécialisés intègrent l’arbre des causes pour aider à structurer l’analyse et à documenter les mesures prises. Parmi les fonctionnalités intéressantes :

  • Modélisation automatique de l’arbre des causes avec des liens dynamiques entre les éléments.
  • Archivage et suivi des actions correctives pour garantir leur mise en œuvre.
  • Intégration au DUERP et aux systèmes de gestion QHSE.

Exemples de logiciels :

  • Winlassie 
  • Qualipro

2. Les outils collaboratifs

L’analyse d’un accident implique plusieurs services. L’utilisation d’outils numériques permet de centraliser les données et de travailler en équipe à distance.

  • Trello, Notion, Monday.com : Pour organiser les tâches et le suivi des actions correctives.
  • Miro, Lucidchart : Pour créer des arbres des causes interactifs et collaboratifs.

3. L’intelligence artificielle et la gestion prédictive des risques

Certaines entreprises utilisent des algorithmes pour analyser les données des accidents passés et anticiper les risques. Ces outils peuvent suggérer automatiquement des liens de causalité et des mesures correctives basées sur des bases de données enrichies.

💡 Exemple d’innovation : Une IA peut détecter des schémas récurrents d’accidents (ex. : fréquence élevée de glissades dans une zone spécifique) et recommander des actions préventives avant même qu’un nouvel accident ne survienne.

L'importance de la culture sécurité

L’arbre des causes est un outil puissant, mais son efficacité repose avant tout sur la culture sécurité de l’entreprise. Une organisation qui valorise la prévention et l’analyse des incidents met en place un environnement plus sûr et réactif face aux risques.

1. Passer d’une logique punitive à une logique d’apprentissage

⚠ Trop souvent, l’analyse des accidents se limite à trouver un coupable. Cette approche est contre-productive et freine la remontée des incidents.

Bonne approche :

  • Encourager les salariés à remonter les situations à risque sans crainte de sanction.
  • Ne pas accuser une personne, mais analyser le système et les dysfonctionnements globaux.

Exemple : Plutôt que de sanctionner un employé qui ne portait pas ses EPI, il faut se demander :

  • Les EPI étaient-ils disponibles et adaptés ?
  • L’employé était-il correctement formé à leur usage ?
  • Les règles étaient-elles connues et appliquées par tous ?

2. Sensibiliser et former en continu

Une entreprise avec une bonne culture sécurité met en place :
✔ Des formations régulières sur les méthodes d’analyse des accidents et la prévention des risques.
✔ Des réunions de sensibilisation et des exercices pratiques sur le terrain.
Des outils interactifs (ex : simulations d’incidents, serious games) pour apprendre à identifier les risques.

3. Intégrer la sécurité dans le management quotidien

La prévention doit faire partie du fonctionnement de l’entreprise et non être une simple formalité. Pour cela :

  • Les managers doivent montrer l’exemple et rappeler l’importance des règles de sécurité.
  • Les analyses d’accidents doivent être suivies d’actions concrètes et visibles par tous.
  • La communication doit être transparente : partager les retours d’expérience permet d’éviter que les mêmes erreurs ne se reproduisent.

📌 En résumé :
Une entreprise avec une culture sécurité forte ne considère pas l’arbre des causes comme une simple obligation après un accident, mais comme un outil d’amélioration continue pour protéger ses salariés et optimiser son organisation.

Conclusion

L’analyse par arbre des causes est un outil efficace pour analyser les accidents, déterminer les causes profondes et mettre en place des actions de prévention adaptées. Il permet d’adopter une vision systémique et d’améliorer la gestion des risques au sein de l’entreprise.

La formation à l’arbre des causes est essentielle pour garantir une mise en œuvre efficace de la méthode. Enfin, son intégration dans le document unique et son utilisation régulière contribuent à une meilleure prévention des risques professionnels.

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